« Vous verrez ce qu'aucun homme n'a encore vu... »

« Il est vrai : ma raison me le dit chaque jour ; Mais la raison n’est pas ce qui règle l’amour. »

« N’êtes-vous pas maître de votre temps ? Vous pouvez partir et revenir quand vous voulez. »

« Ah ! qu’un homme comme cela mériterait bien ce qu’il craint ! et que j’aurais de joie à le voler ! »

« Quinze ans. Et je suis née depuis des siècles. Et je ne mourrai jamais…»

« C’est un bon impertinent que votre Molière avec ses comédies, et je le trouve bien plaisant d’aller jouer d’honnêtes gens comme les médecins. »

« J’embrasse mon rival, mais c’est pour l’étouffer. »

"Il ne faut jamais dire : une telle personne est morte d’une fièvre et d’une fluxion sur la poitrine, mais : elle est morte de quatre médecins et de deux apothicaires."

Vous n'avez rien compris au National-Socialisme. Alors que pourtant c'est tellement facile ...

« Tant qu’on est vivant, tout est prétexte à littérature. »

« Vous êtes mon lion superbe et généreux ! »

« Ah ! la belle chose que de savoir quelque chose ! »

« Se venger de ceux qui nuisent à nos projets en renversant les leurs : c’est ce que chacun fait. »

« L’amour, un délicat enfant ! Il est brutal, rude, violent. Il écorche comme l’épine. »

« Monsieur l’impertinent, vous avez beau faire, vous deviendrez charmant sur ma parole, je l’ai entrepris. »

« Quand l’amour parle, il est le maître, et il parlera. »

« On cherche ce qu'il dit après qu'il a parlé, et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé. »

« Si l’on pouvait savoir, si l’on pouvait savoir !»

« Je confesse que j’ai fait une idole de mon esprit mais je n’en ai pas trouvé d’autre. »

« Et j’ai vu que je ne pouvais me passer de toi et tu es mon coeur et mon âme et le défaut de mon âme et la chair de ma chair et je ne puis être sans Ysé »

« Vous n’êtes que le gant, et moi, je suis la main. »